Les tractions célèbres
René la canne
Le surnom René la Canne ou René le boiteux provient d'une balle reçue dans la jambe qui le fait boiter, la « canne » étant la jambe en argot. René Girier, dit « René la Canne », né le 9 novembre 1919 à Oullins (banlieue lyonnaise) et mort le 28 janvier 2000 dans une maison de retraite à Reims, est un truand français.
René la Canne fut un malfaiteur spécialisé dans les attaques à main armée dans les années 1940 et surtout 1950. Il se rendit célèbre par ses nombreuses évasions.
Il s'évada 17 fois en huit ans de prison et fut libéré en 1956 grâce à sa visiteuse de prison, la princesse Charlotte de Monaco, qui l'installa près de son château de Marchais (Aisne). Il devint son chauffeur (sans permis), sonintendant et son ami. René la Canne fut ainsi le chauffeur de la princesse Charlotte au mariage de son fils Rainier III de Monaco avec Grace Kelly en 1956.
Il s'installe comme libraire à Reims en 1957, puis s'occupe d'entreprises permettant la réinsertion d'anciens prisonniers : "Les ramoneurs de France", un atelier de polissage et une affaire de réparation de flippers1.
Il est inhumé à Reims, au cimetière de la Neuvillette.
incroyable personnage que ce François Lecot ! Voilà un Lyonnais qui, à 57 ans - un âge où, généralement, on aspire à une certaine tranquillité pantouflarde -, se lance dans un raid absolument ahurissant : traverser chaque jour pendant un an la France entière au volant d'une Traction avant Citroën 11 CV. ...
Yvette Horner, née le 22 septembre 1922 à Tarbes, est une accordéoniste française.
Après avoir remporté la Coupe du monde de l'accordéon en 1948, elle obtient le grand prix du disque de l’académie Charles-Cros en 1950 grâce à l'album Le Jardin secret d'Yvette Horner. Elle établit sa popularité en accompagnant la caravane du Tour de France à onze reprises. Durant sa carrière, longue de 70 ans, Yvette Horner donne plus de 2 000 concerts et réalise 150 disques, dont les ventes cumulées s'élèvent à 30 millions d'exemplaires.
La compétition automobile n'était pas très développée à l'époque de la Traction mais celle-ci a quand même fait preuve de sa solidité lors d'une course d'endurance entre Paris et Moscou, aller-retour s'il vous plaît !
Juillet 1957 : après une très longue carrière, la Traction tire sa révérence avec ce dernier modèle produit dont la plaque d'immatriculation porte le mot Fin !
La sympatique voiture française servit aussi de véhicule sanitaire ,ainsi sur cette photos ,marqué de grosses croix rouges :
C'est une sorte de tradition en France, le Président de la République devient l'ambassadeur des marques automobiles françaises qui voient en eux, la possibilité de disposer d'une formidable vitrine. C'est ainsi que la Ve République a permis aux marques françaises de s'exposer fièrement lors des défilés et souvent, avec une plaque d'immatriculation sympathique et personnalisée. La tradition a commencé avant la Ve République avec René Coty et sa Citroën Traction 15/6 Limousine immatriculée 1 FU 75 mais également la 15/6 H Limousine Franay / Charbonneaux immatriculée 1 EN 75 et la la 15/6 Limousine décapotable immatriculée 1 FK 75 (qui deviendra plus tard 1 PR 75 puis 7 PR 75 sous l'ère De Gaulle). Il y a également la Talbot Lago Record T26 4.5L 26CV noire immatriculée 1 H 75 de Vincent Auriol (numéro de série 101501 mise en circulation le 02/08/1950 et toujours propriété de la Présidence de la République en 2012) c'est elle qui ouvre le bal...
La Traction fut cachée dès Juin 1940 dans la grange et ne fut jamais réquisitionnée.
Elle repris du service dès 1945 pour les petits trajets quotidiens entre Bourberain, Fontaine-Française, Bèze et Lux...
La revoici après la guerre par contre elle est maintenant noire !
La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale a eu lieu du 19 au 25 août 1944, marquant ainsi la fin de la bataille de Paris. Cet épisode met fin à quatre années d'occupation de la capitale française.
La Traction Avant (Affaire Tournesol), Hergé, Véhicules en Voiture Tintin